tableaux, mobilier et objets d'art

Quelque quatre-vingts bijoux feront l'ouverture, dominés par une bague centrée d'un rubis naturel ovale probablement birman de 25,04 ct, au rouge intense et lumineux et se détachant d'un entourage de diamants baguette (20 000 €). Les arts asiatiques suivront avec un bronze Meiji figurant un cavalier, haut de 66 cm et remontant à la fin du XIXe ou au début du XXe (9 000/10 000 €), avant de céder la place aux peintures anciennes avec une Scène galante dans un parc attribuée à Louis de Caullery (7 800/8 000 €) et Les Baigneuses à Tivoli signées Henry Plousoy en 1884 (9 000/10 000 €). Séduiront à leur tour de nombreuses verreries art nouveau et art déco à l'image d'une coupe « aux scarabées » en pâte de verre d'Amalric Walter et Henry Bergé (5 600/6 000 €. Voir Gazette n° 28 page 83), mais aussi du mobilier ancien dont une commode Louis XIV grenobloise, en marqueterie de bois indigènes (12 000/15 000 €), et un grand bureau plat double face XIXe d'un modèle de Charles Cressent (22 000/25 000 €). Un peu de douceur féminine enfin avec le buste d'une princesse de la Renaissance selon Vincent Désiré Faure de Broussé, en marbre de Carrare et de 1885 (4 000/5 000 €).